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Remèdes naturels contre la goutte - les champignons vitaux aident à traiter les causes et les symptômes
24 avril 2021
Biologiste diplômée Dorothee Ogroske et al.
La goutte est une maladie qui accompagne l’humanité depuis plus de 2500 ans. Au Moyen Âge, ils étaient considérés comme une punition pour une vie de luxure et de gloutonnerie. En fait, la goutte est souvent liée à l’alimentation et à la consommation d’alcool. Nous vous expliquons ici pourquoi ce que l’on appelle le « taux d’acide urique » est si important dans le cas de la goutte et comment il peut entraîner une inflammation et des douleurs dans vos articulations. Apprenez également à quoi vous devez faire attention dans votre alimentation et quels champignons vitaux peuvent aider à combattre la goutte en tant que remède naturel.
Qu'est-ce que la goutte ?
La goutte est classée dans le groupe des maladies rhumatismales. Comme l’ostéoporose, il s’agit d’une maladie métabolique dont les symptômes affectent l’appareil locomoteur. Les statistiques indiquent que la goutte est l’une des maladies associées à l’alimentation les plus courantes chez les adultes. Les personnes atteintes de cette maladie se plaignent principalement de douleurs à type de crises dans certaines articulations. La douleur s’accompagne d’un gonflement et de rougeurs, car l’articulation est enflammée. Dans le pire des cas, la goutte se manifeste sous la forme d’une maladie chronique qui endommage et déforme les articulations de manière permanente. Nous aborderons plus tard d’autres conséquences telles que les calculs rénaux et les nodules de goutte.
Tout d’abord, il est important de savoir que la goutte est due à un produit métabolique dans notre corps : l’acide urique. Presque toutes les maladies de la goutte s’accompagnent d’un taux élevé d’acide urique dans le plasma sanguin, ce que les experts appellent également « hyperuricémie ». L’acide urique peut précipiter dans certaines conditions. Lorsque les cristaux aux arêtes vives ainsi formés se déposent au niveau des articulations, ils provoquent de minuscules blessures. Ces dernières provoquent des inflammations qui entraînent les douleurs et les gonflements décrits ci-dessus. Lorsqu’il s’agit de prévention et de traitement, vous devez donc toujours garder à l’esprit que l’acide urique est le pivot de cette maladie. Un remède naturel contre la goutte est donc généralement aussi un remède naturel contre un taux élevé d’acide urique dans le sang.
Qui a la goutte ?
Comment se développe la goutte ?
Dans notre corps, l’acide urique est inévitablement un sous-produit de la dégradation des purines. Les purines, quant à elles, sont absorbées par notre alimentation. D’autre part, ils sont libérés lors de la dégradation des cellules. En tant que composant de base des acides nucléiques, nous avons absolument besoin de purines pour stocker les informations génétiques sous forme d’ADN et d’ARN. Si leur dégradation produit de l’acide urique, ce n’est pas un problème en soi. Il a même un effet antioxydant et nous protège ainsi des dommages causés par les radicaux libres. Cependant, les humains manquent de ce que l’on appelle l' »uricase ». Nous en aurions besoin pour transformer l’acide urique en allantoïne, plus facilement soluble. En l’absence de cette alternative, nous devons donc l’éliminer telle qu’elle est. Environ trois quarts de l’acide urique en excès quittent notre organisme par les reins dans l’urine. Nous éliminons le quart restant par les intestins, la salive et la sueur.
Quel est le problème de l'acide urique ?
Jusqu’à présent, l’acide urique est donc une substance tout à fait naturelle à laquelle notre corps est confronté en permanence. Elle ne devient un problème que lorsque sa concentration dépasse un niveau sain. La raison en est, dans de nombreux cas, une excrétion trop faible. De même, une production excessive d’acide urique peut être en cause. C’est pourquoi les remèdes naturels contre la goutte sont généralement conçus pour favoriser l’élimination de l’acide urique ou, comme le font de nombreux champignons vitaux, pour en réguler la production excessive.
C’est tellement important parce qu’à partir d’une certaine concentration, notre corps ne parvient plus à dissoudre l’acide urique. Par conséquent, il se cristallise et forme de l’urate de sodium. Ces minuscules cristaux aux arêtes vives se déposent de préférence dans les articulations, les bourses séreuses, les tendons et même sous la peau. Ces cristaux déclenchent alors les inflammations mentionnées précédemment, accompagnées de douleurs et de gonflements.
Le système du complément de l’organisme est impliqué dans ce processus. Il s’agit d’une partie du système immunitaire inné. Il tente, à l’aide de protéines, d’attirer certaines cellules de défense, comme les granulocytes neutrophiles, sur le lieu de l’incident. Dans ce contexte, des messagers pro-inflammatoires (cytokines) tels que le facteur de nécrose tumorale alpha et d’autres substances pro-inflammatoires sont alors sécrétés.
Dans ce contexte, les champignons vitaux aux propriétés anti-inflammatoires apportent une aide précieuse pour soulager les symptômes.
Goutte primaire vs. secondaire
En médecine, on distingue désormais la goutte primaire et la goutte secondaire en ce qui concerne les causes de la goutte. La goutte primaire est un trouble métabolique héréditaire dans lequel la fonction d’élimination de l’acide urique par les reins est limitée. Les experts parlent également de ce qu’ils appellent les diathèses uriques. La surproduction d’acide urique est due à un défaut enzymatique d’origine génétique chez environ 1 % des personnes concernées. Dans tous les cas, la goutte primaire se traduit par une augmentation de la concentration d’acide urique qui, après une certaine période d’absence de symptômes, aboutit à une crise de goutte aiguë.
En revanche, lorsqu’on parle de goutte « secondaire », c’est un autre problème qui est au premier plan et qui est à l’origine de la perturbation de l’équilibre de l’acide urique. Par exemple, la goutte accompagne souvent le psoriasis ou la sarcoïdose (maladie de Boeck). L’augmentation de la dégradation et du remodelage des cellules en cas de leucémie, d’anémie hémolytique ou pendant le traitement chimiothérapeutique d’une tumeur peut entraîner une augmentation du taux d’acide urique. De plus, les maladies qui réduisent l’élimination de l’acide urique par les reins, telles que les maladies rénales ou le diabète de type 2, favorisent cette forme de goutte. En outre, certains médicaments tels que les diurétiques, l’ASA et le médicament contre la maladie de Parkinson, la lévodopa, favorisent la maladie. Des toxines telles que le plomb, l’acide benzoïque ou les mycotoxines peuvent également en être la cause. Enfin, le jeûne est également connu pour libérer un excès de purines en raison de la dégradation rapide des cellules due au manque d’énergie, ce qui a un impact sur le taux d’acide urique.
Pourquoi la goutte survient-elle ?
Où se situe exactement le niveau critique d’acide urique à partir duquel la goutte apparaît ? Les experts considèrent qu’un taux d’acide urique allant jusqu’à 6,5 milligrammes par décilitre de sang est normal. Tout ce qui est supérieur à ce seuil constitue un facteur de risque de maladie de la goutte. Strictement parlant, cette valeur s’applique aux hommes, alors que la norme d’acide urique est fixée à un niveau inférieur pour les femmes. En ce qui concerne le risque de goutte, la limite de 6,5 mg/dl s’applique également au sexe féminin.
Cela ne signifie pas pour autant que toute personne présentant des taux élevés d’acide urique souffrira de la goutte ! D’autres facteurs semblent jouer un rôle dans ce cas, comme le milieu dans l’articulation et la température. Plus le pH du liquide articulaire est bas (acide) et plus les tissus de l’articulation sont froids, plus les cristaux d’urate de sodium sont susceptibles de se former. Cependant, à partir d’une concentration de 8 milligrammes d’acide urique par décilitre de sang, la probabilité de développer la maladie augmente rapidement, presque indépendamment des deux autres facteurs mentionnés. Il est donc fortement conseillé d’utiliser les remèdes naturels contre la goutte le plus tôt possible afin d’éviter que le taux d’acide urique n’augmente autant que possible.
Facteurs de risque de crise de goutte
- Consommation d’alcool: l’alcool augmente la production d’acide urique dans le foie tout en inhibant son élimination par les reins. Par conséquent, la probabilité d’une crise de goutte est nettement plus élevée après une soirée bien arrosée. En raison de sa teneur en purines, la bière semble être encore plus critique que le vin dans ce contexte.
- Excès d’aliments riches en purines: le poisson, les fruits de mer et la viande sont en moyenne extrêmement riches en purines. La consommation de grandes quantités peut donc favoriser une crise de goutte. En revanche, les aliments végétaux riches en purines ne semblent pas augmenter le risque de manière significative selon les études.
- Boissons contenant du fructose: les boissons riches en fructose comme le cola, mais aussi les jus, sont régulièrement associées aux crises de goutte.
- Médicaments réduisant l’acide urique: L’administration de médicaments qui provoquent une forte baisse de l’acide urique peut également favoriser la goutte. En effet, pour compenser la baisse du taux, le corps ouvre ses réserves d’acide urique. Des inflammations peuvent alors se produire sur leurs bords. C’est là que les remèdes naturels comme les champignons vitaux reprennent l’avantage, car ils ne provoquent jamais de baisse excessive du taux d’acide urique.
- Âge: le risque de goutte augmente avec l’âge, en particulier celui de goutte secondaire.
- un IMC élevé: En cas d’obésité et de syndrome métabolique, tous les processus métaboliques sont altérés au fil du temps. C’est la raison pour laquelle l’acide urique peut plus facilement devenir excessif.
- Stress: en cas de stress ou de grande anxiété, le taux d’acide urique augmente également. Mais lorsque la charge mentale diminue, elle baisse à nouveau. Dans ce cas, les champignons médicinaux Reishi et Cordyceps, par exemple, peuvent être d’une bonne aide, car ils réduisent le stress.
- Opérations: Des taux élevés d’acide urique ont également été observés après des opérations chirurgicales. Il en va de même pour les autres efforts physiques importants.
- Diabète: l’insuline et l’acide urique vont un peu de pair. Ainsi, un taux d’insuline élevé inhibe l’élimination de l’acide urique. C’est la raison pour laquelle les diabétiques présentent assez souvent un taux d’acide urique élevé. D’autre part, la résistance à l’insuline est plus fréquente chez les personnes ayant des taux élevés d’acide urique que chez les personnes ayant des taux moyens.
Évolution de la maladie
Où la goutte apparaît-elle en premier ?
Quelle est l'évolution d'une maladie de la goutte ?
Après une première crise de goutte, il n’y a pas nécessairement d’autres crises. Il est néanmoins conseillé de réguler le taux d’acide urique, par exemple à l’aide de champignons vitaux. Il existe en outre d’autres remèdes naturels contre la goutte, que nous allons aborder dans un instant. Si les personnes concernées ne font rien pour s’attaquer aux causes de la crise et ne suivent pas de traitement, la crise suivante survient généralement entre six mois et deux ans plus tard. Les crises ultérieures touchent souvent d’autres articulations, voire plusieurs à la fois. De plus, la durée moyenne des crises augmente, ce qui permet de supporter la douleur plus longtemps.
Enfin, une chronicité de la goutte est également possible. Mais cela n’arrive en moyenne que douze ans après la première crise. La goutte chronique est extrêmement pénible, car elle s’accompagne de douleurs et d’inflammations persistantes dans les articulations. À cela s’ajoutent, dans certaines circonstances, des modifications articulaires arthritiques dues à la destruction du cartilage et de l’os. Ils limitent de plus en plus la mobilité générale. Une crise de goutte ne doit pas nécessairement évoluer vers la chronicité. Même s’il n’est pas traité. Les chercheurs pensent que la modification du taux d’acide urique au fil du temps joue ici un rôle essentiel. Il est donc important pour la prévention de l’équilibrer à l’aide de champignons médicinaux et d’un mode de vie équilibré.
Autres risques pour la santé liés à la goutte
Une autre conséquence de l’augmentation permanente du taux d’acide urique est la formation de nodules de goutte ou « tophi ». Environ 30 % des personnes ayant une crise de goutte non traitée développent de tels nodules dans les cinq ans. Ils se déposent à proximité des articulations, sur les os, les cartilages et sous la peau. Cela concerne en priorité les coudes, les articulations des orteils et des doigts, ainsi que les tendons d’Achille et le cartilage des oreilles. Le problème est que ces nodules de goutte provoquent des douleurs permanentes. La bonne nouvelle, en revanche, est qu’un traitement visant à réduire l’acide urique, accompagné par exemple de champignons vitaux comme remède naturel contre la goutte, permet également de réduire la taille des tophi.
Les autres conséquences de la goutte dépendent de l’endroit où les cristaux peuvent encore s’accumuler. Si elles s’installent dans les reins ou la vessie, par exemple, le risque de calculs rénaux, d’insuffisance rénale, d’hypertension rénale et d’infections urinaires augmente.
Comment traiter la goutte ?
S’il s’agit d’abord d’une crise de goutte aiguë, les mesures suivantes ont fait leurs preuves dans la pratique :
- surélever l’articulation touchée
- Refroidir l’articulation
- consulter un médecin pour des analgésiques si nécessaire
En revanche, il faut plus de temps pour soigner la goutte à long terme et prévenir d’autres crises. Enfin, l’ensemble du métabolisme doit être rééquilibré. Il est essentiel de soutenir les reins dans leur fonction naturelle d’élimination de l’acide urique. Pour cela, il existe différentes approches de la médecine naturelle qui reposent principalement sur un mode de vie sain et le soutien des champignons vitaux. Dans ce contexte, nous souhaitons d’abord aborder brièvement l’aspect nutritionnel avant de nous pencher sur les différents champignons médicinaux.
Quels sont les aliments à proscrire en cas de goutte ?
Dans le cadre de la formation de l’acide urique à partir des purines, nous avons déjà brièvement évoqué la teneur en purines des aliments. Dans ce domaine, les aliments d’origine animale riches en purines se sont notamment révélés être un facteur de risque pour les crises de goutte. Si votre taux d’acide urique est déjà élevé, vous devez surtout éviter le poisson, les fruits de mer et, si possible, les viandes grasses. Il faut également réduire au minimum la consommation d’alcool, en particulier de bière. Parallèlement, vous devez toujours boire beaucoup pour permettre aux reins de bien fonctionner. L’eau plate et, si elle est disponible, l’eau thermale riche en hydrogénocarbonate, qui combat la formation de calculs dans les reins, sont idéales. Les tisanes (froides) sont également d’excellents désaltérants. Les boissons sucrées comme les sodas, les colas ou même les jus de fruits ne sont pas recommandées.
L’alimentation n’a pas seulement une influence sur l’apport en purines, elle peut également influencer l’environnement de votre corps. L’acide urique étant plus susceptible de se cristalliser dans un environnement acide, il est préférable de privilégier les aliments basiques. Il s’agit en premier lieu des fruits et légumes, mais aussi des noix, des herbes et bien sûr des champignons. En revanche, les glucides doivent être réduits autant que possible, car ils favorisent la sécrétion d’insuline. Un taux d’insuline plus élevé s’accompagne toujours d’un taux d’acide urique sérique plus élevé. De plus, pour réduire votre taux de glycémie, ne prenez que trois repas par jour. Une teneur élevée en substances amères favorise en outre la digestion et l’élimination des déchets.
Autres mesures
Outre une alimentation équilibrée à base de plantes, les bains alcalins contribuent également à augmenter le pH de l’organisme. Il peut s’agir de bains complets ou de bains de pieds. Les séances régulières de sauna sont également utiles en cas de goutte. Ne faites du sport qu’à un niveau modéré, car un effort trop important entraîne la formation d’acide lactique dans le corps. En général, il faut réduire le stress et dormir suffisamment pour que le corps puisse bien se générer et que le métabolisme ne soit pas affecté.
Comment les champignons vitaux aident-ils à combattre la goutte ?
Il existe une sélection de champignons vitaux qui sont particulièrement utiles en cas de taux élevé d’acide urique et donc comme remède naturel contre la goutte. Outre le reishi et le cordyceps, il s’agit du shiitake, du pleurotus et du maitake. Mais d’autres champignons vitaux peuvent également être utiles en fonction de la cause des taux élevés d’acide urique, des maladies concomitantes et de l’état physique général.
N’hésitez pas à demander conseil à nos expertes. Vous pouvez déterminer la combinaison et le dosage de champignons médicinaux qui vous conviennent le mieux.
En principe, les propriétés suivantes des champignons vitaux sont utiles dans le cadre d’une maladie de la goutte :
Amélioration de l'excrétion rénale
Grâce à leurs composants, certains champignons médicinaux peuvent avoir un effet sur le taux d’acide urique dans le sang. Par exemple, le polyporus et le poria cocos soutiennent directement les reins dans leur travail. Leur effet à la fois diurétique et protecteur des reins réduit le risque de souffrir d’une crise de goutte.
Réduction du risque de maladie métabolique
Le diabète et le syndrome métabolique étant tous deux associés à un taux élevé d’acide urique, il est important de s’attaquer à ces deux problèmes avant l’apparition de la goutte. Les champignons vitaux qui protègent et entretiennent la flore intestinale ainsi que ceux qui régulent les taux de glycémie et d’insuline sont utiles à cet égard. Les champignons médicinaux très précieux dans ce contexte sont le maitake et le coprinus.
Champignons vitaux contenant de la chitine
Les champignons tels que le maitake et le coprinus contiennent de la chitine. Celui-ci est intéressant d’une part pour les personnes qui souffrent d’un syndrome métabolique. En effet, il inhibe l’absorption des graisses par la muqueuse intestinale. D’autre part, les personnes souffrant de goutte bénéficient de la chitine, car le corps la décompose en glucosamine. Ce métabolite est à son tour un matériau de base pour le cartilage. Il est donc essentiel pour la santé des tendons, des os, des ligaments et des articulations. Les personnes âgées en particulier souffrent souvent d’une carence en glucosamines !
Anti-inflammatoire
Au plus tard lorsque les articulations sont enflammées de manière chronique, les propriétés anti-inflammatoires de nombreux champignons vitaux peuvent apporter un soulagement. Les triterpènes et les bêta-glucanes contenus dans les champignons sont d’une grande importance dans ce contexte, car ils ont une influence directe sur la cascade inflammatoire.
Effet antioxydant
Les champignons vitaux contiennent des enzymes, des phénols et des bêta-glucanes qui ont un effet antioxydant dans le corps. Ils interceptent ainsi principalement les effets secondaires des inflammations (chroniques), dans le cadre desquelles un excès de radicaux libres d’oxygène est libéré.
Soulagement de la douleur
C’est précisément lorsque les douleurs articulaires sont désagréables, mais qu’une prise prolongée d’analgésiques n’est pas souhaitable, que les champignons médicinaux aux effets antinociceptifs peuvent apporter un véritable soulagement. Les mycothérapeutes utilisent volontiers le reishi, le shiitake et le cordyceps à cette fin, par exemple.
Quels sont les champignons vitaux les plus efficaces contre la goutte ?
Champignon vital Reishi
Le reishi est un remède naturel très important contre la goutte. En effet, il n’a pas seulement un effet analgésique, mais également un effet anti-inflammatoire et antioxydant en raison de sa forte concentration en triterpènes. Grâce à ses propriétés d’équilibrage végétatif, il favorise les processus de régénération du corps. La médecine traditionnelle chinoise lui attribue également la capacité d’apaiser l’esprit. Un niveau de stress plus faible réduit le risque d’augmentation du taux d’acide urique lié au stress.
L’un des points de départ centraux du reishi est le foie. Il y améliore le métabolisme des graisses, ce qui prévient les taux élevés de lipides sanguins et, par conséquent, le syndrome métabolique. Grâce à ses propriétés prébiotiques, le champignon vital améliore en outre le milieu intestinal et influence positivement le métabolisme par ce biais.
Champignon vital Cordyceps
Le cordyceps est le champignon vital le plus important pour les reins. Il les renforce dans leur fonction et les protège. Il stimule ainsi l’élimination des substances urinaires, dont l’acide urique. En outre, il a un effet positif sur les glandes surrénales. C’est là que sont produites, entre autres, les hormones de stress cortisol et adrénaline. L’effet régulateur du cordyceps sur la production d’hormones se fait sentir en réduisant le stress.
Enfin, dans le contexte de la goutte et des douleurs articulaires qu’elle provoque, il convient de mentionner que le cordyceps a un effet analgésique. En outre, il tamponne les effets négatifs des inflammations liées à la goutte. En effet, la superoxyde dismutase et le glutathion qu’il contient développent leurs propriétés antioxydantes dans l’organisme, ce qui signifie qu’ils neutralisent les radicaux libres. En outre, les composants du cordyceps régulent le taux de sucre dans le sang.
Champignon vital shiitake
Le shiitake est un champignon vital qui s’est avéré réduire l’acide urique. C’est donc un remède naturel extrêmement précieux contre la goutte – en particulier la goutte primaire. Grâce à ses propriétés basiques, il assure un environnement dans les articulations où les cristaux d’acide urique ont du mal à se former. De plus, grâce à ses composants, il reconstruit les articulations endommagées et favorise leur mobilité générale. Il peut soulager les douleurs articulaires.
Le shiitake n’est pas seulement un champignon vital, c’est aussi un champignon comestible précieux. En raison de sa teneur élevée en protéines, il est considéré comme un excellent substitut de viande. Mais contrairement aux aliments d’origine animale, il réduit le taux de cholestérol en favorisant sa dégradation. C’est une aide précieuse pour ceux qui souhaitent réduire leur surpoids. De plus, le fait que le shiitake exerce un effet alcalin sur notre corps est très utile. En effet, dans un milieu acide, les cristaux d’acide urique précipitent beaucoup plus rapidement que dans un environnement basique.
Champignon vital Pleurotus
Le pleurote est également un champignon comestible savoureux. Elle est riche en protéines et en vitamines B. Les personnes sujettes au syndrome métabolique, en particulier, devraient souvent remplacer un repas de viande par un plat de champignons. Comme le shiitake, le pleurote a un effet réducteur sur les taux de lipides sanguins et diminue ainsi le risque de troubles lipidiques.
Il convient également de mentionner ici que ses ingrédients nourrissent et développent la flore intestinale. Toutes ces propriétés sont très précieuses dans le contexte de la goutte, car l’obésité et le syndrome métabolique sont souvent associés à un taux élevé d’acide urique.
En ce qui concerne les symptômes concrets de la maladie de la goutte, le pleurote peut apporter un soulagement. Il a en effet un effet relaxant sur les muscles, les tendons et les articulations, c’est-à-dire tous les endroits où l’acide urique s’accumule et où des nodules de goutte peuvent se former.
Champignon vital maitake
Le maitake est ici principalement recommandé aux personnes ayant des problèmes de métabolisme des graisses. Il s’agit en effet du champignon vital privilégié lorsqu’il s’agit du syndrome métabolique. Comme nous l’avons déjà mentionné, le risque d’un taux élevé d’acide urique augmente dès que le métabolisme dans son ensemble se dérègle. Le maitake aide ici en stimulant par exemple le métabolisme des graisses et en réduisant par la suite le taux de triglycérides et de cholestérol dans le sang. Il apporte ainsi une contribution précieuse à la gestion du poids. En ce qui concerne le diabète, il est également intéressant de noter que le maitake peut inverser dans une certaine mesure la résistance à l’insuline des cellules du corps.
Chaque personne est unique !
Notre équipe expérimentée se fera un plaisir de vous conseiller en détail et gratuitement sur toutes les questions relatives à votre santé.
Acheter des champignons vitaux contre la goutte
Vous souffrez de la goutte ou vous savez que votre taux d’acide urique est élevé ? Dans ce cas, les champignons vitaux peuvent vous aider à soulager à la fois les causes et les symptômes. Avant de chercher un cultivateur de champignons médicinaux sérieux, vous devriez toutefois demander conseil sur les champignons les plus efficaces dans votre cas particulier.
Chaque personne est différente ! Tout comme les causes de la goutte peuvent varier, les autres conditions de vie et les éventuelles maladies associées varient également. N’hésitez donc pas à appeler nos expertes et à leur exposer votre propre situation. Grâce à leur longue expérience et à leurs connaissances approfondies, nos expertes peuvent vous indiquer les champignons vitaux parfaits pour vous et établir un plan de dosage détaillé.
Lors de l’achat des champignons médicinaux, vous devez alors examiner le fournisseur sous toutes les coutures. Le respect du cahier des charges allemand en matière d’agriculture biologique est essentiel. Les champignons vitaux doivent en effet pousser loin de tout pesticide, engrais ou autre substance chimique, car ils les absorbent et les stockent immédiatement à leur contact. Au final, vous absorbez ces toxines en plus de tous les bons ingrédients et vous nuisez à votre santé sans le savoir. En revanche, si vous cultivez selon les normes biologiques, vous pouvez être sûr qu’il n’y a pas de toxines dans les champignons. En outre, le fabricant doit garantir un processus de séchage doux à moins de 40° Celsius. En effet, des températures plus élevées détruisent de précieuses enzymes qui ne sont alors plus disponibles pour votre santé. Enfin, l’expérience de la mycothérapie a montré que la poudre en gélules est la forme d’administration idéale. Il est important que le champignon entier soit réduit en poudre afin de préserver tous ses composants. La capsule elle-même protège la poudre d’une détérioration prématurée. De plus, les gélules sont extrêmement faciles à utiliser, car elles sont faciles à doser et à prendre.
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